Travailler pour le Docip a été une expérience extrêmement enrichissante pour moi, tant sur les plans personnels que professionnels. J'y ai fait la connaissance de gens dévoués, qui croient à la pleine participation des peuples autochtones aux discussions des enjeux contemporains importants. J'ai pu aussi me familiariser avec l'Instance permanente et son fonctionnement d'une manière jamais égalée pour moi jusqu'à ce moment-là, m'aidant ainsi à obtenir un stage au sein du SPFII l'année suivante.
En tant que bénévole, mes tâches variaient: aménager/déménager les bureaux/points de service de l'organisation, accueillir les participants au bureau, traduire des discours et autres documents, etc. Puis, à mesure que la 13ème session avançait, on m'a demandé d'assister aux rencontres de certains caucus (notamment celui des jeunes) etde communiquer toute demande de renseignement ou de service de la part des participants autochtones aux cadres de Docip. Tout cela, bien sûr, en respectant la politique de non-engagement du Docip pendant les rencontres.
En travaillant plus longuement avec le Secrétariat de l'Instance permanente et ses partenaires, j'en suis venu à réellement comprendre combien fondamentale – et peut-être même irremplaçable – la présence du Docip est à l'ONU, à Genève comme à New York. Sans aucun doute, dans le cadre des questions autochtones à l'ONU, tout le monde tire son chapeau au Docip!
Je suis très fier de cette expérience, et serais heureux de collaborer avec le Docip de nouveau dans le futur!